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La route des Châteaux de la Loire (3/3)

Photo du rédacteur: Signé NatachaSigné Natacha

Dernière mise à jour : 28 mai 2024

Bienvenue à bord du trajet numéro quinze de l'année 2024. Je suis Natacha, votre cheffe de bord pour cette destination. Aujourd’hui suite et fin de notre parcours sur la route des châteaux de la Loire ! Je vous souhaite un excellent voyage en ma compagnie !


Le 05 juillet 2023, Amboise

Aujourd’hui, nous avons décidé de passer la journée à Tours. Une demi-heure après notre départ d'Amboise nous arrivons donc dans cette ville, on trouve un parking pour y laisser la voiture. Nous arrivons vers l'enceinte gallo-romaine située dans les jardins de viking. Puis nous nous dirigeons vers la cathédrale Saint Gatien. Construite à partir de 1547, la cathédrale de Tours est un joyau exceptionnel grâce à ses vitraux. Cette cathédrale succède à celle construite en 573 de style mérovingien consacrée à Saint-Maurice. Cette dernière est en mauvais état et on décide d'en reconstruire une dans le style angevin. Mais elle ne sera jamais terminée. Entre 1213 et 1270 la cathédrale est en proie plusieurs fois aux flammes. Elle se relève dans un style gothique. On décide au XIVe siècle que Saint-Gatien sera le nouveau patron de cette cathédrale. La nef est achevée après la guerre de 100 ans et les tours hautes de 70m sont couronnées dans un style italien. La cathédrale est enfin achevée. En 1862 elle est classée au titre des monuments historiques. Depuis 1993, elle a connu de nombreuses restaurations : des pierres et des vitraux, l'orgue, la façade, la chapelle du tombeau des enfants de Charles VIII et d'Anne de Bretagne.

Après la visite de cette cathédrale nous déambulons dans les rues de la ville. Nous visitons la célèbre place des Plumereau, le vieux Tours, la tour Charlemagne ou encore la place Châteauneuf. Nous nous rendons ensuite à la basilique Saint-Martin de Tours. Cette basilique remplace en 471 une petite chapelle élevée sur le tombeau de Saint-Martin. Elle mesure 50m de long, 22m large et 45m de hauteur. Malheureusement en 1050 un incendie oblige une reconstruction totale. La nef fait alors 56m de long et 28m de large. Elle connaît des incendies, des pillages, se transforme en écurie, jusqu'en 1797 où les voûtes s'effondrent et l'église est détruite sauf quelques restes que nous avons pu voir avant d'entrer dans la basilique. La basilique telle que nous la voyons aujourd'hui a été construite à partir de 1887 dans un style Romano byzantin. À l'intérieur on peut visiter la crypte où se trouve le tombeau de Saint-Martin. Après la visite comme il nous reste du temps avant de récupérer notre logement à Saumur, nous décidons d'ajouter au programme un nouveau château.

À une demi-heure de là se trouve le somptueux château de Villandry. La visite de ses jardins est libre mais celle du Château se fait avec un guide. Lorsque la cloche retentit cela marque le début de la visite. Au rez-de-chaussée nous découvrons le salon. Le château a été réaménagé vers 1760 par le comte de Castellane. Il a souhaité que les intérieurs soient équivalents à ceux que l'on connaissait sous Louis XV en apportant bien sûr sa touche personnelle. Ainsi le salon est aménagé avec un mobilier du XVIIIe siècle. Nous arrivons ensuite dans le donjon qui est la partie la plus ancienne du Château et qui est le seul héritage de la forteresse médiévale. C'est dans ce cabinet de travail qu'Henri II Plantagenêt roi d'Angleterre et Philippe Auguste roi de France signèrent la "paix de Colombiers" en 1189. Ensuite une salle à manger où meubles du XVIIIe siècle se mélangent parfaitement avec les origines provençales du compte de Castellane. En témoigne cette fontaine intérieure qui rafraîchit la pièce. La salle à manger est classée au titre des monuments historiques en 1934. Au premier étage, nous découvrons des chambres, la bibliothèque, et le salon oriental. Dans cette dernière pièce nous découvrons un plafond qui provient du palais des ducs de Maqueda construit au XVe siècle en Espagne. Véritable puzzle, c'est en 1905 que Joaquim Carvalho acquiert ce plafond et le fait installer à Villandry. Il est composé de 3600 pièces de bois polychrome qui ont demandé un an de travail. Enfin au deuxième étage nous trouvons la chambre des enfants, et le donjon. C'est sur la terrasse de ce dernier, que nous voyons les jardins et un panorama à couper le souffle sur la vallée où le Cher et la Loire coulent parallèlement. Ce paysage est inscrit au patrimoine mondial de l'humanité. Nous flânons ensuite dans les somptueux jardins qui entourent le château. Nous commençons par le jardin d'ornement. Ce jardin est le prolongement des salles de réception. En premier lieu se trouvent les jardins d'amour, où quatre carrés symbolisent les quatre états : l'amour tendre où les cœurs sont séparés par des petites flammes, l'amour passionné où les cœurs sont brisés par la passion, l'amour volage où l'on voit se dessiner des ailes de papillon et l'amour tragique. En haut, se trouve le jardin des croix où l'on reconnaît la Croix de Malte, la croix du Languedoc et la croix basque. Nous continuons notre déambulation en lisière de forêt et nous arrivons au plan d'eau, juste à côté le jardin du soleil et le labyrinthe. Nous finissons notre balade dans le jardin des simples et dans le potager. Il est l'heure maintenant d'aller récupérer notre logement du côté de Saumur.


Le vrai château de princesse

Le 06 juillet 2023, Saumur

Nous partons de bonne heure le matin direction Chinon. Et non nous n'allons pas à la rencontre de la famille Verneuil (Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?). Nous avons rendez-vous avec le roi d'Angleterre. En effet la forteresse royale de Chinon fut le dernier refuge d'Henri II Plantagenêt roi d'Angleterre. Elle a également accueilli dans ses murs Aliénor d'Aquitaine, Charles VII ou encore Jeanne d'Arc. C'est un lieu où l'histoire de France a connu des tournants importants. Afin de mieux se représenter ce qu'était autrefois la forteresse de Chinon, nous sommes équipés d'un Histopad. Au contraire des différents châteaux que nous avons pu déjà voir, celui-ci est un château fort médiéval qui en a gardé plus ou moins ses traits. Ce promontoire rocheux est utilisé depuis longtemps mais ce n'est qu'à la fin de l'empire romain qu’il est fortifié puis occupé. En 1154, lorsque Henri II Plantagenêt devient roi d'Angleterre, la forteresse est au centre de ses possessions continentales. C'est dans ces murs, qu'il s'éteint en 1189, abandonné par ses enfants et malade. En 1205 son plus grand rival Philippe Auguste prend le château et y fait construire une grande cour défensive. La forteresse connaîtra un autre événement majeur en 1429 lorsque Jeanne d'Arc vient à la rencontre de Charles VII. Quelques années plus tard, la reine de France Marie d'Anjou fait de la forteresse royale sa résidence principale. C'est en 1840 que les lieux sont classés monuments historiques. Aujourd'hui de toute ces époques, il reste de nombreuses ruines. Par exemple la pièce où Jeanne d'Arc a rencontré Charles VII est aujourd'hui à ciel ouvert seul un mur a résisté au temps. Grâce à l'Histopad, nous pouvons nous rendre compte de la grandeur de ce que fut la forteresse. Après une matinée dans ses murs, nous nous dirigeons vers un autre château.

Bienvenue au château de la Belle au bois dormant. C'est un château féerique qui s'ouvre à nous, tellement féerique qu'il a inspiré Charles Perrault dans son compte de la Belle au bois dormant et même Disney pour le château de son parc à Paris. Le château a connu de nombreuses rénovations. Érigé en place forte au Moyen Âge il devient un modèle d'architecture à la Renaissance et une demeure de plaisance raffinée aux XVIIème et XVIIIème siècles. C'est Gelduin 1er qui fait édifier ici une place forte en bois et en pierre. Cette première base servira par la suite. Au XVIe siècle, le corps central du château et une partie de l'aile droite sont édifiées. Un siècle plus tard, le château est transformé en demeure de plaisance et un pavillon est construit pour le mariage de la fille du Maréchal de Vauban. C'est à ce moment-là que le château acquiert ses plus belles lettres de noblesse. Les jardins sont dessinés à la française par Le Nôtre. Les aménagements se poursuivent avec l'ajout notamment d'une galerie néogothique et l'embellissement de la façade intérieure est. Aujourd'hui le château est une demeure privée où le duc de Blacas et sa famille résident toujours. Nous entrons dans la salle des gardes, restaurée en 2018, cette pièce est l'entrée du château. Le plafond est peint d'après une technique italienne dite en trompe-l'œil et fait ainsi apparaître un faux marbre. On trouve une collection d'armes et d'objets orientaux rapportés au XIXe siècle par le comte Stanislas de Blacas. Nous nous rendons ensuite dans le salon Vauban. Cette chapelle, nous offre aujourd'hui un mobilier de salon de style régence entièrement démontable afin de changer le tissu en fonction des saisons. Nous découvrons ensuite l'ancienne salle à manger, la Grande galerie, la chambre du roi ou encore le grand escalier. Dans toute cette pièce, nous pouvons découvrir l'exposition des costumes "Best-of". En voyage dans le temps où nous trouvons tenues de jour et robe de soirée des années 1863 à 1955. Nous apprécions ainsi des robes de dîneurs en satin, en tulle, des robes d’été en mousseline ou en satin ; des robes à danser en velours de soie ou en crêpe rebrodé de perles de jais et de tubes d'or. Enfin avant de prendre l'air dans les jardins, nous découvrons le chemin de ronde où l’histoire de la Belle au bois dormant nous est racontée.


On reste sur place puis on part un peu plus loin

Le 07 juillet 2023, Saumur

Pour ce matin on reste sur place, on laisse la voiture et on part à pied à l’assaut du château de Saumur. Possession des comtes d’Anjou puis des Plantagenêt, il est transformée en forteresse au début du XIIIème siècle. Un siècle plus tard, le duc Louis Ier d'Anjou le transforme en château palais. De la mort du roi René jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, le château servira de résidence aux différents gouverneurs. Notamment Philippe Duplessis-Mornay qui fait fortifier la bâtisse contre les protestants. Durant les XVIIème et XVIIIème siècles, le château de Saumur est une prison essentiellement pour les marins britanniques. Épargné par la révolution, il est sauvé de la destruction par Napoléon Ier qui décide de le transformer en prison d'État. Mais en 1814 ses fonctions changent et le ministère de la guerre le transforme en dépôt d'armes et de munitions. Le château est cependant classé aux monuments historiques en 1862. Dès 1889, la ville entame des discussions avec l'État afin d'acquérir ce château. Des discussions qui aboutissent en 1906. Dès lors elle entreprend de nombreux travaux de restauration. En partie restauré, le château abrite le musée municipal qui ouvre au public, ainsi que le musée du cheval. Malheureusement le château est bombardé lors de la seconde guerre mondiale et subit de graves dégâts. Lorsqu'ils le peuvent les travaux sont repris. En 2001 une partie du rempart Nord s'effondre et sa restauration dure de 2004 à 2007. Aujourd'hui pour notre visite, nous montons au belvédère qui surplombe les toits du château et offre une vue panoramique unique sur la ville de Saumur. Pour venir, nous empruntons un escalier à double vis étroit. Enfin nous visitons ainsi les deux musées. Nous déambulons, dans l'exposition dédiée à Tolkien qui nous propose un voyage dans l'univers du Seigneur des anneaux et de la fantasy en général. Puis nous y découvrons une collection d'arts décoratifs allant du XIVème siècle au XVIIIème siècle. Au second étage, nous retrouvons le musée du cheval avec des objets allant du Néolithique au XIXème siècle. C'est ici, que nous découvrons la collection Charles Lair dans une exposition célébrant le centenaire de la donation de ce dernier au château.

Nous prenons enfin la voiture pour nous rendre au château de Montreuil-Bellay qui se trouve à une vingtaine de minutes d'ici. C'est le château aux 15 tours et 600 m de remparts. Le premier donjon de ce château est déconstruit au XIe siècle par Foulque Nerra dit le Faucon noir. De sa descendance naît la dynastie des Plantagenêt et notamment Geoffroy Plantagenêt. La réputation de Montreuil Bellay se forge lors du mariage de ce dernier alors Comte d'Anjou avec Mathilde l'Angleterre faisant ainsi passer l'Anjou sous la domination anglaise. C'est Giraud II Berlay, baron de Montreuil Bellay qui s'y oppose. Il faudra à Geoffroy Plantagenêt plusieurs assauts et un siège de trois ans entre 1148 et 1151 pour réduire la résistance du baron. Tantôt anglais tantôt français, c’est le roi Philippe Auguste qui soumettra définitivement la baronnie de Montreuil-Bellay au royaume de France en 1208 en bâtissant un donjon de pierre. Après la révolution, le château est acheté par un riche négociant en vin. Sa fille, épouse du Baron Alexandre Adrien de Grandmaison, met en état le château et le lèguera à son neveu Georges de Grandmaison. Maire de la ville et parlementaire de l'arrondissement de Saumur il ouvrira le château aux blessés de la guerre de 14-18 permettant ainsi à près 1.200 soldats de se faire soigner. Aujourd'hui, toujours aux membres de cette famille de Grandmaison, on peut y découvrir la cuisine, les logis, la collégiale. Mais aussi les caves où sont stockés les vins du vignoble séculaire au château, d'appellation Saumur contrôlée et commercialisée sous le nom Château Montreuil Bellay. Notre visite terminée, nous nous rafraîchissons avec une glace avant de repartir à Saumur.


Dernière étape avant la fin

Le 08 juillet 2023, Saumur

Nos vacances touchent à leur fin. Mais au programme aujourd'hui Brissac et Angers. Près de 40 minutes nous séparent de notre logement à notre prochain château : le plus haut château de France.

Le château appartient à la même famille depuis 1502 : la seigneurie de Brissac grâce à René de Cossé. Depuis 2021, ses descendants, le duc et la duchesse y habitent toujours avec leurs quatre enfants. Le château de Brissac se veut d'abord militaire, construit par Foumques Nerra au XIème siècle. Mais de ce château là il ne reste guère de vestiges. En effet, en 1606 le château est gravement endommagé. Il est reconstruit quelques années plus tard sous la direction de l'architecte Jacques Corbineau. Lors de la révolution, le château est réquisitionné et transformé. Pillé, vandalisé il reste dans cet état jusqu'en 1844 où un programme de restauration est entrepris par la famille Cossé-Brissac. En 1880 un théâtre y est inauguré, créé sur deux étages par Jeanne Marie Say, veuve en premières noces de Roland de Cossé. Le château fut également un lieu d'abri pour les œuvres d'art lors de la seconde guerre mondiale. Du mobilier de Versailles, des œuvres des musées Gustave Moreau du palais de l'Élysée ou encore du Sénat sont conservés en sûreté dans ses pièces. Ce château est le plus haut de France et compte sept niveaux et 204 pièces. Sa façade a de l'influence baroque du XVIIe siècle et les deux tours sont des vestiges de l'ancien château. En fin de visite nous y dégustons le vin et faisons un rapide tour dans son parc avant de nous rendre à notre dernière destination.

Vingt minutes plus tard, nous y sommes : Angers. Notre dernier stop avant le retour en Bretagne. Nous commençons par une visite de la ville. Nous nous rendons à la cathédrale Saint Maurice, le diocèse d'Angers depuis le IVème siècle. Ce n'est que quelques siècles plus tard qu'il est dédié à Saint Maurice. Sous les flammes à plusieurs moments de son époque les premières constructions et fondations ont aujourd'hui disparu. Il est reconstruit lors de deux campagnes majeures. La première sur la nef grâce à l'évêque Normand de Doué. Puis avec la construction de trois grandes voûtes, les premières de l'architecture gothique angevine. Sa façade est achevée à la Renaissance. Les deux grands clochers devaient être réunis par un pignon. C'est au début du XVe siècle que d'importants travaux reconstruisent les deux flèches octogonales, mais une fois de plus les flammes ravagent la cathédrale. Le mobilier qu'on retrouve à l'intérieur témoigne des traditions et évolutions de l'église à partir de la contre-réforme. La chair monumentale datant du XIXe siècle est l'œuvre d'un prêtre angevin : l'abbé Choyer. On y retrouve des peintures murales, des tapisseries etc. Après la visite du centre-ville terminé nous visitons notre dernier château : la forteresse royale d'Angers. Construite au XIIIe siècle, la forteresse domine la Maine. Son enceinte, longue de plus d'un demi kilomètre avec 17 tours de 11 à 13m de diamètre. Au XIVe et XVe siècle, les ducs d'Anjou y fixent leur cour. En 1375, Louis Ier commande la tapisserie de l'Apocalypse. Avant de la découvrir, les différentes pièces du château que nous visitons nous expliquent comment est créée une tapisserie. Après la visite de ces différentes pièces, chemin de ronde, des jardins, nous entrons dans la galerie de l'Apocalypse. Construite au milieu du XXe siècle à l'emplacement des bâtiments disparus, cette galerie abrite l'exceptionnelle tapisserie. C'est le plus ancien ensemble de tapisseries de cette dimension de 100 m. Elle a été réalisée en sept ans, un délai rapide, par Jean De Bruges peintre du roi. Entièrement tissée en laine, elle était à l'origine, un ensemble de six tapisseries de 6m de haut sur 23m de long. En 1400, lors du mariage du fils de Louis Ier : Louis II avec Yolande D'Aragon, la tenture est étendue dans la cour de l'archevêché d'Arles. 80 ans plus tard, elle est déléguée à la cathédrale d'Angers par le roi René, dernier duc d'Anjou. Au XVIIIe siècle, elle subit de nombreuses mutilations. Quand sa valeur est reconnue au milieu du siècle suivant elle est restaurée. C'est en 1954 qu'elle revient au château. Cette majestueuse tapisserie illustre l'Apocalypse de Saint-Jean : dernier texte du Nouveau Testament. Elle relate les visions prophétiques de Saint-Jean et de la lutte entre le bien et le mal. Elle évoque aussi les ravages de la guerre de 100 ans, la famine, la peste... chaque pièce est délimitée par un cadre blanc, les scènes se lisent de gauche à droite en commençant par la ligne du haut. Au total trois séries de sept fléaux.

C'est avec cette tenture que notre chemin sur la route des châteaux de la Loire se termine. Près de deux semaines à visiter ses somptueuses bâtisses regorgeant d'histoire, témoins d'une autre époque, héritages de ceux et celles qui ont fait la France.


Cher voyageur, notre trajet 15 touche à sa fin. J'espère que vous avez effectué un agréable voyage dans le passé en notre compagnie. Avant de quitter la page, n'oubliez pas de commenter, liker ou partager ou faire un tour sur le site. Je vous souhaite une agréable journée et à bientôt pour une prochaine destination.


Récap et infos pratiques

🏰 Château de Villandry, Forteresse royale de Chinon, Château de Saumur, Château de Montreuil-Bellay, Château de Brissac, Château d’Angers

⛪ Cathédrale Saint-Gatien de Tours, Basilique Saint-Martin de Tours, Cathédrale Saint-Maurice d’Angers

🏛 Enceinte gallo-romaine

💖 Château de Brissac

💰 Environ 105€ pour deux pour l’intégralité de cette troisième partie (⚠️ tarifs étudiants, prix uniquement des visites)

🚗 Environ 275km parcours (environ 4h34 sur la route) pour cette deuxième partie de voyage en voiture (route sans péage)


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