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Les petits articles du mois de juillet 2021

Photo du rédacteur: Signé NatachaSigné Natacha

Alès : plus que deux semaines avant la grande première de "Luther à Luther King"

Derniers réglages pour les danseuses de l’école Ka’danse à Saint-Christol-lez-Alès, avant les trois représentations programmées à Mialet.


Dans ce spectacle de deux heures, douze tableaux seront dansés. Et ce sont onze danseuses de l’école Ka’danse de Saint-Christol-lez-Alès, dirigée par Séverine Pialat, qui seront sur la scène à ciel ouvert. "On a fait en sorte que ça apporte de la poésie, de la magie ", explique la chorégraphe. Les danses seront présentes pour "illustrer les tableaux ou entre. Chaque danse est sur le thème de la conscience ", détaille-t-elle.

Derniers réglages, reprise sur les pas, rythmique, synchronisation etc. tout est rattrapé par la chorégraphe et sous l’œil avisé du metteur en scène de De Luther à Luther King, Jean-Noël Schwingrouber. "Il faut que les figurants, les comédiens, tout le monde soit convaincu pour être convaincant une fois sur scène ! ", s’exclame-t-il.


Spectacle reporté pour cause de Covid-19

Même si elles ont commencé à travailler dessus l’année dernière, c’est depuis janvier que les jeunes filles s’entraînent. Après un arrêt forcé pendant le confinement, des reprises à l’extérieur ont permis de se remettre dans l’objectif final. "On se sent bien, on a déjà eu une première préparation l’an dernier. Et plus ça va, plus on se fait une idée de ce que ça va donner ", dit Sophie Maurin, danseuse.

La troupe a aussi pris ces marques sur le lieu du spectacle, au musée du Désert, à Mialet. "On n’a pas l’habitude d’un aussi grand espace, des gradins. Après il y a aussi une appréhension sur les sorties, les enchaînements, les changements de costumes, on a l’habitude avec les galas, mais, là, c’est une autre dimension ", explique la jeune danseuse.

Ce spectacle est le travail de près de 300 personnes, professionnels et bénévoles. C’est le remake de celui de 2017. "TouT à changer sauf le texte qui est intact ", précise le metteur en scène. "C’est un vrai travail collectif. Pour la danse on a travaillé avec les musiciens pour se l’approprier. Avec l’éclairagiste pour que tout s’emboîte parfaitement. On a pris l’inspiration de chacun pour faire une énergie commune ", conclut Séverine Pialat.


Article publié le 04 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

La saison estivale d’Alès plage a bien démarré, malgré les restrictions

Depuis deux semaines, Alès Plage accueille ses clients au bar, au resto ou à la base nautique. De quoi se couper un instant de la ville tout en y restant.


Tous les jours, de midi à 19 heures, les Alésiens peuvent déconnecter, les pieds dans le Gardon ou autour d’une table sur les bords de la rivière. "On a réalisé un bon démarrage. Les gens sont au rendez-vous ", se félicite Christophe Hugon, cogérant de la guinguette d’Alès plage.

La saison commence bien pour l’équipe de l’établissement. "On a eu un recrutement un peu plus difficile. Il nous manque encore un cuisinier confirmé. Du coup, pour le moment, on ne peut pas proposer de brunch le dimanche ", explique le responsable.

Cette année, quelques règles supplémentaires sont à respecter. "On fait du service à table uniquement, pas au comptoir. Et les week-ends sont encore sans musique, pour éviter que les gens ne dansent ", précise-t-il. La réservation, surtout le soir, est "conseillée, on est souvent complet ", pointe Christophe Hugon. La seule jauge, c’est "dès qu’il n’y plus de place assise. Le premier week-end ça a été un peu compliqué à gérer. Mais c’était le temps de remettre la machine en route ", détaille le gérant.

Pour la suite, c’est encore un peu flou. "Pour remettre de la musique par exemple, on attend les consignes des autorités. Les clients en demande ", poursuit Christophe Hugon.


Quelques nouveautés

La base nautique "Urban wake up" propose plusieurs animations en plus de la baignade. Au programme, wakeboard accessible dès 7-8 ans avec initiation. Mais du paddle, du pédalo et de l’aquacycle sont également praticables sur le Gardon.

Cette année, la "station balnéaire" propose, en plus, deux bodyboards 100 % électriques. "Ça fait de bonnes sensations. Ceux qui ont essayé ont bien aimé ; c’est ludique et accessible dès 12 ans ", précise le gérant.

Aux tapas, nouveauté aussi, le jeudi soir, c’est moules-frites. "Et c’est très demandé", ajoute-t-il. Avec l’évolution de la situation sanitaire, des animations pourront avoir lieu. "On a des choses de prévues. On attend les autorisations pour les annoncer et le mettre en place. Mais c’est un peu compliqué ", confie Christophe Hugon.


Article publié le 05 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

Alès Express : le corps et les neurones en action à travers la ville

Pour la troisième année consécutive, Numa Laurens Moulin et Robin Charre ont proposé leur jeu Alès Express, ce lundi matin. "On regardait les émissions Pékin Express et La chasse aux trésors, et on avait envie de les refaire à notre échelle ", explique le premier.

Le départ a été donné au sommet de l’Ermitage. Les quatre binômes, différenciés par des couleurs, se sont élancés à 9 h 30. "Normalement, en une matinée, le parcours est fini ", précise l’organisateur. Chaque équipe est suivie d’une caméra pour enregistrer toutes les épreuves "et, après je monterai, tout et on diffusera une vidéo, sur YouTube, de notre émission ", poursuit Numa Laurens Moulin.

Pour cette troisième édition, les huit participants ont dû répondre à des questions et passer par des épreuves sportives. "Des questions pour l’aspect culturel et historique, auxquelles on a ajouté, cette année, un peu plus de d’épreuves physique ", précise le jeune homme.

Tous les candidats ont été récompensés avec des lots "qu’on a réussis à constituer grâce à nos partenaires. Il y en a même pour les cameramans parce qu’ils sont tous bénévoles. On voulait, donc, les remercier ", sourit l’organisateur.


Landry et Mathéo sacrés vainqueurs à l’Urban parc

Pour la troisième année consécutive, Numa Laurens Moulin et Robin Charre ont proposé leur jeu Alès Express, ce lundi matin. "On regardait les émissions Pékin Express et La chasse aux trésors, et on avait envie de les refaire à notre échelle ", explique le premier.

Le départ a été donné au sommet de l’Ermitage. Les quatre binômes, différenciés par des couleurs, se sont élancés à 9 h 30. "Normalement, en une matinée, le parcours est fini ", précise l’organisateur. Chaque équipe est suivie d’une caméra pour enregistrer toutes les épreuves "et, après je monterai, tout et on diffusera une vidéo, sur YouTube, de notre émission ", poursuit Numa Laurens Moulin.


Article publié le 06 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

Alès : de l’émotion aux résultats du baccalauréat au lycée

Une année encore particulière pour les candidats du baccalauréat. Seules les épreuves de philosophe et le grand oral étaient en présentiel. Tout le reste était du contrôle continu.


"Je ne suis pas stressé. C’était une année facile avec le contrôle continu, il est presque donné ", affirme Ilian Tiar, candidat au diplôme en série technologique.

Au lycée JBD à Alès, les panneaux des listes étaient à l’intérieur et les candidats ont attendu l’ouverture des portes, pour chercher leur nom et savoir s’il était suivi de la mention admis ou pas.


Des heureux et des déçus

Comme chaque année, il y a des larmes, parfois de bonheur ou de tristesse. Certains, on dut se diriger vers leurs professeurs pour leurs rattrapages. Tandis qued’autres ont enlacé leurs proches venus les accompagner et partager leur joie.

« On était stressées avant de voir les listes », expliqueMellie Galia, lauréat avec mention bien en série technologique. C’est donc « un soulagement », pour Zoé Liabeuf, diplômée du baccalauréat technologie mention assez bien, que d’avoir obtenu son diplôme. Et même si tout le monde est masqué, on peut lire les sourires sur les visages de ceux qui ont obtenu le diplôme.

Tous ont pris la photo du résultat comme preuve de leur réussite. D’autres étaient au téléphone. Les professeurs on tfélicité leurs élèves. « On va profiter des vacances avec un poids en moins », précise Emma Ruiz, lauréat avec mention assez bien en technologique.


Article publié le 07 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

Alès : du monde avec le beau temps au marché des Près-Saint-Jean

Sous le soleil, les couleurs des fruits et des légumes mettent l’eau à la bouche.


Au marché des Près-Saint-Jean, les vendeurs sont installés depuis 6 h le matin, pour toute la matinée. Et du monde, il y en a, des visiteurs mais surtout des habitués. "On vient souvent le dimanche pour avoir les produits frais ", explique Françoise, venue achetée ses fruits et légumes. Les clients viennent en couple ou en famille acheter les produits de saisons. "En ce moment ce sont les pêches, nectarines, abricots, melon et tomates. Les gens achètent beaucoup les fruits et pour faire les salades ", indique Houssine Oulkasse, marchand sur le marché qui vient de Bagnol-sur-Cèze. Dans les étalages, un arc-en-ciel de bon produits.


Mélange des produits

Dans la tête de certains, des idées de recettes pour le midi. "Je fais des ratatouilles, comme tout le monde : aubergine, courgette etc.. Et des plats frais, précise Françoise. J’aime beaucoup le mélange, la mixité des produits. "

Venu d’Anduze au marché des Près-Saint-Jean, Antoine, vient cherché "ce qui me plaît, en regardant le produit. " Cet habitué, revient souvent. "Pour les produits et les prix sont raisonnables ", indique Antoine.

Les commerçants, propose des produits "au maximum locaux, de la région, c’est important ", précise le vendeur de Bagnol-Sur-Cèze.

Le marché, c’est aussi le moment de rencontrer des gens, de discuter. Une bonne humeur et un beau temps pour commencer la journée et préparer, avec des légumes de saison, de bons repas. On peut aussi y acheter des produits comment de la viande et du fromage, et aussi des habits.


Article publié le 12 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

Les jeudis, enquêtez à bord du train à vapeur des Cévennes

La crise sanitaire a permis à l’équipe du train à vapeur des Cévennes de monter un nouveau projet. "On aimerait attirer une nouvelle clientèle, parce qu’on perd un peu de visiteurs ", indique Caroline Barbier, directrice de la structure. L’idée de l’escape game est alors mise sur la table. "Pour le faire, on avait besoin de quelqu’un qui sait faire. Et on a rencontré Virginie Geoffray, qui monte son entreprise d’escape game : Virus Games ", explique la directrice. Commence alors de réflexion pour la création du jeu.


Dans la peau d’un cambrioleur

Le speech est simple. "Un archéologue a trouvé un talisman rare à Alexandrie et l’a caché. Un groupe de cambrioleurs internationaux, les joueurs, veulent le retrouver. Mais ils sont aussi poursuivis par la gendarmerie. Il y a donc un double enjeu : sortir du wagon avec le talisman et ce, avant d’être rattrapé ", raconte Virginie Geoffray, game master du jeu, le secret du Cévennes Express.

Pour le décor, Éric Durr, a tout imaginé à partir du wagon qui a été refait en intérieur comme à l’extérieur. "On veut faire vivre aux joueurs un retour dans l’Orient Express. On a pensé a tout pour que ce soit le plus réalise possible", précise-t-il.

Les parties auront lieu tous les jeudis soir "le même jour que le marché nocturne de Saint-Jean-du-Gard ", indique Caroline Barbier. L’équipe, de quatre à huit personnes, aura une heure pour résoudre la quarantaine d’énigmes pour pouvoir sortir du wagon. "Ça aura lieu à 19 h, 20 h et 21 h. Si on voit qu’il y a de la demande on ouvrira plus d’horaires ", poursuit la directrice.

Première enquête le 15 juillet et se poursuivra jusqu’en août. En septembre octobre, les enquêtes auront lieu les samedis et dimanches pendant les trajets du train de 45 minutes. "On sera vraiment en mouvement et ça offrira vraiment l’aspect voyage aux joueurs ", indique Virginie Geoffray.

Réservations sur : www.trainavapeur.com


Article publié le 15 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

"Low cost paradise", un spectacle sincère et expérimental

Depuis mai 2016, la compagnie Cirque Pardi ! travaille sur sa nouvelle création : Low cost paradise. "C’est du cirque moderne, sans animaux, avec des acrobaties, du trapèze, un funambule et de la magie. On a un début, une fin : c’est une histoire ", décrit Maël Tortel, coordinateur du projet, et équilibriste. Au total, près de 20 personnes ont travaillé sur le projet et 10 artistes seront sur scène.

"Toute ressemblance avec la réalité n’est pas du tout une coïncidence. Parce que tout le long du spectacle, on va interroger le public sur des faits de société, les relations humaines…, explique l’équilibriste, On ne va jamais faire la morale, mais on va, avec le public, réfléchir à comment bien repartir sur une autre base. Le public pourra s’identifier à certains personnages."

Déjà joué une dizaine de fois avant les confinements, le spectacle ne cesse d’être rodé et finalisé. "On espère le faire tourner quatre ou cinq ans, dans toute l’Europe, avec un total de 60-70 dates ", projette Maël Tortel.

Pour ces quatre dates, la compagnie est en collaboration avec l’espace culturel de la Berline. "On travaille en autoproduction. C’est sans organisateur, l’argent vient de la billetterie, et à chaque fois que l’on s’installe on essaie de nouer des partenariats ", précise-t-il.

Les 20, 22 et 23 juillet, 20 h 30, sous le chapiteau jaune, à Champclauson, rue des cités carrière.


Réservations : cirquepardi.festik.net. Tarif plein : 12 €.


Article publié le 19 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

 

Alès : rendez-vous ce dimanche, au marché des potiers d’Anduze

L’événement traditionnel attire des professionnels de la région et au-delà.


En même temps que la foire aux vins, à Anduze, ce dimanche, un marché des potiers sera organisé. Sur le plan de Brie et rue du Luxembourg, 29 potiers exposeront leurs produits, dont deux poteries anduziennes. "Ils viennent de la région et des régions limitrophes. Toutes les techniques seront représentées comme la faïence ou la porcelaine ", précise Béatrice Casanova, présidente de l’association des Potiers cévenols, organisatrice de cette journée. Son but est de promouvoir le savoir-faire ancestral des potiers locaux et cévenols, et de le faire connaître du public.


Diversité de styles et de techniques

Depuis plusieurs années, cet événement attire petits et grands. Même l’année dernière, il avait eu lieu malgré la crise sanitaire. "On avait dû faire un parcours. Cette année, ce n’est pas nécessaire, mais les masques restent indispensables. Nous avions aussi plusieurs animations, mais on ne pourra pas les organiser, comme la démonstration de tournage, par exemple ", fait aussi savoir l’organisatrice.

L’association propose chaque année, au public, un large éventail de la diversité des styles et techniques. Ces ateliers de poterie sont redécouverts par un public amateur. Il faut rappeler qu’Anduze, de par son histoire, a toujours été une grande cité de la poterie et de la céramique. Les techniques ancestrales sont perpétuées, mais l’association des Potiers cévenols soutient aussi les nouveaux venus dans la profession et leur permet d’exposer pour la première fois leurs jeunes créations…

Ce dimanche, une nouvelle fois, les exposants proposeront leurs travaux et n’hésiteront pas à donner des informations complémentaires sur leur travail aux plus curieux.


Marché des potiers, dimanche 25 juillet, dès 9 h. Sur le plan de Brie et rue du Luxembourg Gratuit.


Article publié le 22 juillet 2021 dans l'édition d'Alès du Midi Libre

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